Nos intérieurs sont pollués par de nombreux composants chimiques invisibles à l’oeil nu…
Les polluants d’intérieur peuvent être :
L’amoniac : produits ménagers ou de bricolage…
Le benzène : encres, peintures, plastiques, détergents…
Le formaldéhyde : bois aggloméré, colle de moquette, laine de roche ou de verre, colle de papier peint, textile d’ameublement..
Le toluène : vernis, colle, moquette, tapis, laque…
Le monoxyde de carbone : chaudière, cheminée, poêle…
Il existe des plantes qui dépolluent et assainissent nos intérieurs. Le principe de dépollution repose sur un échange gazeux entre la plante et son environnement : la plante absorbe les substances nocives par son feuillage et les stocke dans ses cellules, contribuant ainsi à assainir l’air autour d’elle.
Bill Wolverton (ingénieur de la NASA) a été le premier à étudier la phytoépuration sur une cinquantaine de plantes d’intérieur. Les plantes vertes ont une couleur apaisante, elles humidifient l’air, absorbent les agents polluants et ont un pouvoir déstressant très efficace.
Le TOP 10 des plantes dépolluantes :
- L’aglaonéma : elle craint le soleil direct, mais dépollue par ses feuilles, ses tiges et ses racines.
- L’anthurinum : elle a besoin de lumière vive, mais elle est championne pour ôter l’amoniac.
- L’aréca : Cette plante nécessite de la lumière , mais pas trop forte. Elle absorbe le toluène.
- L’azalée : a besoin d’une lumière vive sans excés de chaleur pour absorber l’amoniac.
- Le caoutchouc : il supporte tous types de lumière et combat le formaldéhyde.
- Le chlorophytum : il a besoin d’une lumière modérée et lutte contre le monoxyde de carbone.
- Le dragonnier marginé : ils’attaque à tous les polluants, pourvu qu’il bénéficie d’une lumière modérée.
- Le figuier pleureur : Il aime la lumière vive pour absorber l’amoniac et le formaldéhyde.
- La fougère de Boston : elle a besoin d’une lumière moyenne et lutte contre le formaldéhyde.
- Le palmier nain : s’il a une lumière modérée, il peut s’attaquer aux polluants de toutes les catégories.
Dicton de janvier : « Quand janvier rit devant, il fait la grimace par derrière »