Le réchauffement de la planète continue de s’accroître… Nouveau constat de l’ONU

Nouveau constat inquiétant sur le réchauffement climatique:  les quatre dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées, a indiqué mercredi l’ONU. Cette dernière y voit la confirmation du réchauffement climatique causé par les concentrations records de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

Février 2019

«Cette année (2018) se classe au quatrième rang des plus chaudes qui aient été constatées depuis 1850», poursuit l’agence spécialisée de l’ONU. «Avec 1,2°C de plus qu’à l’époque préindustrielle, l’année 2016, marquée par l’influence d’un puissant Niño, conserve le statut d’année la plus chaude. En 2015 et 2017, l’écart de la température moyenne par rapport aux valeurs préindustrielles était de 1,1°C.»

2019 ne s’annonce pas plus froide,  sur les 22 dernières années, on a dénombré les 20 années les plus chaudes jamais enregistrées. «Les phénomènes météorologiques extrêmes ou à fort impact ont frappé une multitude de pays et des millions de personnes l’année dernière»,

L’Australie a connu le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré, alors qu’une vague de froid intense s’abattait sur une partie de l’Amérique du Nord. «La vague de froid dans l’est des États-Unis ne vient certainement pas contredire la réalité du changement climatique», a souligné Petteri Taalas. «L’Arctique se réchauffe à un rythme deux fois plus rapide que la moyenne mondiale (…) Ce qui se passe aux pôles ne reste pas cantonné aux pôles, mais influence les conditions météorologiques et climatiques dans d’autres régions, où vivent des centaines de millions de personnes», a-t-il rappelé.

L’OMM doit publier en mars sa déclaration sur l’état du climat mondial, avec une multitude d’informations détaillées et de statistiques. L’agence collecte des données fournies par l’Administration américaine pour les océans et l’atmosphère (NOAA), le Goddard Institute for Space Studies (GISS), la NASA, ainsi que par le Centre Hadley du Service météorologique britannique et la Section de recherche sur le climat de l’Université d’East Anglia (Royaume-Uni).

La plante d’Août : Le Tournesol

Anciennement Heliotrope et Maurelle, le Tournesol est de la famille des Astéracées. C’est une plante annuelle qui peut atteindre 3 mètres de hauteur. Ses capitules ont un sommet pointu. Ses fleurs sont jaune d’Or.

Jeune, le tournesol grandit très vite en se tournant vers le soleil. « Le côté à l’ombre poussant plus vite que le côté qui reçoit la lumière, sa tige se courbe en fonction du mouvement du soleil, donnant l’impression que la fleur suit le soleil. Cela est lié à l’auxine contenue dans la région apitale de la plante. Cette hormone, responsable de l’élongation cellulaire chez le végétal, migre vers le côté opposé à celui exposé au soleil. Les cellules sont donc plus grandes du côté ombragé que du côté ensoleillé. »(Wikipédia).

Le tournesol se cultive pour ses graines riches en huile (comme l’olivier ou le colza). Il doit être semé mi-mars et se récolte en août.  Il demande peu d’arrosage car ses racines vont chercher l’eau en profondeur. Disposer les graines tous les 20 cm, puis couvrir en attendant les premières pousses.

Découverts par les Mexicains , les tournesols arrivent au XVI ème siècle via les espagnols en Europe. La France les cultivent au XVIIIème siècle dans le Languedoc et c’est au XIX ème siècle que grâce à la sélection, la Russie dans sa culture de tournesols, fait monter la teneur des graines en huile à 40% (avant elle atteignait seulement 15 à 20%).

En France on trouve des tournesols surtout dans le Sud-Ouest, dans le Centre et en Côte d’Or. La pollinisation se fait via les abeilles. Mais une question se pose aujourd’hui : pourquoi en France particulièrement, certaines variétés femelles sont-elles moins butinées que les mâles ?

L’huile de tournesol contient 12% d’acides gras saturés et beaucoup d’acides gras poly-insaturés : acide oléique, palmitique et linoléique. Ceci donne un effet positif sur le taux ce cholestérol. Cette huile contient aussi des anti-oxydants qui protègent le corps du vieillissement.

Le tournesol est riche en vitamine E (retrouvée dans la composition de la margarine), A, D, et B6 (qui agit sur les troubles de l’humeur et les troubles berveux). Cette plante contient aussi des fibres, bonnes pour le transit intestinal, de l’iode et du fer qui nettoient les toxines et simplifient le travail du coeur, ainsi que du calcium, du magnésium, de l’acide folique et des protéines.

Les nutriments sont décuplés lors de la germination des graines : très tendance aujourd’hui pour les végétariens, les végétaliens ou les crudivores !

Les graines de tournesol sont utilisées en cosmétologie pour les soins capillaires ou pour des soins sur la peau : masque, crème,…

Le tournesol peut aussi servir de fourrage(protéines, méthionine) . Sa graine est excellente pour les oiseaux de volière ou les perroquets.

L’huile de tournesol, comme l’huile de colza, peut aussi servir comme agro-carburant pour les moteurs diesel, mais, sauf si on la traite soi-même pour un usage personnel, elle est beaucoup plus taxée que le diesel, ce n’est donc pas rentable !

Dans le langage des fleurs : Offrir un tournesol à quelqu’un signifie qu’on lui témoigne une admiration profonde : « Tu es mon Soleil », mais pas seulement pour un message d’Amour, il peut juste s’agir d’Amitié…

La légende du Tournesol : « Il était une fois une jolie nymphe, Clythie, amoureuse du dieu soleil Hélios. Possessive, elle ne voulut pas partager son élu avec sa soeurCleucothoé. Se plaignant de cette situation à son père, celui-ci décida d’enterrer vivante sa cadette. Le dieu solaire se sentant trahi, abandonna alors Clythie. L’indifférence que l’astre manifesta à son égard ne fit qu’amplifier cet amour et la jolie nymphe passait ses journées à pleurer et à suivre continuellement du regard la course du char de son bien-aimé. Devant l’immense chagrin de sa fille, le père supplia le dieu solaire d’apaiser sa fille. Ce dernier la transforma ainsi en fleur »tournesol ». »(d’après Paysages et Fleurs au Fil de l’Eau).

 

 

Salade aux graines de Tournesol

Salade aux graines de tournesol :

Avocats ; Radis Noirs ; Fenouil ; 4 cuillères à soupe de graines de tournesol grillées ; endives ;  cresson ou mâche ; 1/2 citron ; 1 cuillère à soupe de miel ; 1 cuillère à café de moutarde ; poulet ou saumon fumé.

Faire griller les graines de tournesol à sec dans une poêle sans arrêter de remuer pour ne pas les faire brûler.

Couper les endives en lamelles fines après les avoir lavées et séchées. Couper les radis noirs en petits dés. Laver et égoutter le cresson ou la mâche. Couper les avocats en petits dés et les arroser tout de suite de jus de citron pour éviter qu’ils noircissent. Couper le fenouil en lamelles très fines après l’avoir épluché.

Mélanger le miel, la moutarde et 5cl d’eau pour faire une sauce onctueuse.

Poser les morceaux d’avocat au fond d’un saladier, verser la sauce et mélanger. Puis déposer dessus le fenouil, le poulet ou le saumon, les endives, le radis noir, le cersson et terminer par les graines de tournesol grillées. Déguster : C’est bon, c’est frais, c’est l’été !

L’E-Fan sur les traces de Blériot

(Source LE POINT)

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Manifestement, les jauges de l’E-Fan n’étaient pas à zéro lorsque l’avion électrique est arrivé en vue de l’aérodrome de Calais. Didier Esteyne, le pilote, n’a pas pris au plus court et s’est même permis de faire un passage au-dessus du taxiway, avant d’atterrir sur la piste 06 (face au nord-est), 36 minutes de vol après avoir décollé de Lydd, situé de l’autre côté de la Manche, à 70 kilomètres. Blériot avait mis 32 minutes sur un trajet plus court (37 kilomètres). Un coup d’œil sur les jauges électriques de l’E-Fan. Elles affichent encore 21 %, ce qui correspond à six minutes de vol, la courbe de décharge n’étant pas linéaire. Pour les recharger, il faudrait dépenser environ deux euros d’électricité.

Surchauffe des batteries

À Lydd, au départ, le bruit de l’hélicoptère d’accompagnement domine lors du roulage de l’E-Fan vers la piste qu’il remonte pour s’aligner et s’élancer face au nord. Un temps d’arrêt, puis la tour de Lydd l’autorise à décoller à 10 h 17. Quelques dizaines de mètres d’accélération avec les volets légèrement sortis et il quitte le sol. La montée est franche alors que le train d’atterrissage est rentré. Puis Didier Esteyne vire pour mettre cap à l’est.

Au-dessus de la Manche, entre Lydd et Calais, il fait beau et, en même temps, pas trop chaud. C’est un atout pour l’E-Fan, car une des craintes des ingénieurs vient de la montée en température des vingt-neuf batteries lors de la décharge, avec des risques d’incendie. Au sol, grâce à la télémétrie, une centaine de paramètres sont reçus en temps réel et permettent de suivre la vie technique de la machine. Le pilote, lui, est en contact radio avec la tour de Lydd jusqu’au milieu de la Manche, relayée ensuite par l’agent d’opérations de l’aérodrome de Calais. Il peut aussi joindre son équipe technique au sol sur une autre fréquence. Pour naviguer, il fait appel à un GPS associé à une cartographie aéronautique montrant, par exemple, les zones urbaines de Calais à ne pas survoler.

Baignade en cas de panne

Les images diffusées en direct par l’hélicoptère d’escorte montrent en arrière-plan la route des cargos qui franchissent le pas de Calais. Aux énormes porte-conteneurs succèdent des pétroliers géants. La côte française est visible de l’Angleterre. Dès le trait de côte franchi, un aérodrome de dégagement – Saint-Inglevert – est accessible en cas de problème. L’E-Fan vole à 3 500 pieds, environ 1 100 mètres. En cas d’arrêt des moteurs, l’avion électrique planera pendant quatre minutes. Didier Esteyne, qui a capelé son gilet de sauvetage avant le décollage, devra choisir le meilleur compromis pour amerrir. Il dispose aussi d’un parachute, mais il est probable que l’hélicoptère Dauphin avec plongeur qui l’accompagne aurait été très vite sur les lieux.

Produire des avions électriques

« La traversée, c’est un début. C’est symbolique. On est là pour faire des avions », souligne Jean Botti, le directeur de l’innovation d’Airbus Group. Patrick Gandil, directeur général de l’aviation civile, souligne « tout l’intérêt de cet avion électrique qui répond aux soucis de réduction des gaz à effet de serre ». Il insiste aussi sur l’association au projet de l’École nationale de l’aviation civile, car il sera nécessaire d’adapter la formation des pilotes à la mise en œuvre de l’avion électrique.

Si on remonte l’arbre généalogique d’Airbus Group, on retrouve la société Blériot, dont l’atelier de Suresnes de l’époque abrite aujourd’hui un bureau d’études de l’avionneur européen. Blériot a été absorbé par la SNCAO, devenue Sud-Aviation, Aérospatiale puis Airbus.

Le « navire » de Blériot

Au-delà du défi technique, très symbolique avec la traversée de la Manche, un véritable parcours du combattant administratif a été conduit par les équipes d’Airbus pendant près de six mois pour obtenir les autorisations de réaliser un tel vol. L’ouverture du parapluie réglementaire est telle que de véritables couloirs aériens ont dû être créés entre Lydd et Calais. En 1909, à l’arrivée, la douane anglaise avait seulement remis à Louis Blériot un certificat à remplir où le pilote reconnaissait ne pas avoir contracté de maladie infectieuse pendant le voyage à bord de « son navire appelé Le Monoplan ».

Cette tentative n’est toutefois pas exempte de polémiques. Hier, un autre bimoteur, le CriCri MC15-E du Rennais Hughes Duval, s’est posé à Calais après une traversée de la Manche sur un mode assez différent de celui de l’E-Fan ou même de Blériot. Le CriCri, transporté sur le dos d’un gros monomoteur Broussard, s’est fait larguer au milieu de la Manche. Cet attelage qui rappelle celui utilisé par la navette spatiale américaine est régulièrement présenté en meeting sous le nom de « navette bretonne ». Le CriCri a ensuite effectué un passage à la verticale de Lydd, avant de rallier Calais et d’atterrir. Il n’a donc pas relié les deux pays. Comme l’E-Fan et Blériot en 1909.

 

Acheter une maison à rénover: nos conseils

Acheter une maison à renover : les conseils des pros pour bien choisir

Nous avons donc interrogé plusieurs hommes de l’art qui nous ont donné leurs conseils comme ils l’auraient fait pour un ami proche. N’attendez donc pas de règles, mais des avis personnels.

Pour Denis Desebe, architecte, spécialiste des réalisations bioclimatiques « ce qui compte d’abord c’est l’orientation, l’idéal étant d’avoir des pignons à l’est et à l’ouest et une pente de toit au sud. Ainsi d’une part vous pouvez équiper la toiture avec des panneaux solaires (thermiques et/ou photovoltaïques), mais aussi jouer sur la descente de toiture pour protéger contre la chaleur d’été. Toujours dans cette même idée, si on a du terrain au sud c’est mieux, on pourra installer plus facilement une véranda ou un jardin d’hiver, ou creuser pour faire de la géothermie ».

Denis Desèbe fait également remarquer qu’une isolation se dégrade dans le temps. Son expérience de la rénovation lui fait dire que la laine de verre par exemple, perd rapidement de son efficacité. Donc « mieux vaudrait acheter une maison des années 60 pas isolée du tout qu’une maison des années 80, dont l’isolation ne sera plus efficace ; sauf si on a la place de surajouter une nouvelle isolation sans enlever l’ancienne ».

Voici en vrac ses autres remarques, elles n’ont pas valeurs de règles, mais elles lui sont dictées par l’expérience :
Balcons et terrasses – Les balcons et terrasses sont autant d’ailettes de refroidissement d’une maison qu’il est très difficile d’améliorer.
Toiture et charpente – Disposer de combles non aménageables facilitent grandement la pose d’un isolant en grande épaisseur, par exemple de la ouate de cellulose . Dans le cas contraire, on privilégiera la qualité de la charpente ; et si la couverture est à refaire, ce dont devra tenir compte le prix de vente, ce n’est pas plus mal, car on pourra alors refaire facilement l’isolation par l’extérieure.
Isolation des sols du rez-de-chaussée – Les vides sanitaires (a fortiori les caves) permettent de faire une isolation par le dessous de la maison mais à la condition qu’ils fassent plus de 60 cm pour laisser passer un homme + l’isolant. Une maison sur un terre-plein présente l’avantage de bénéficier de l’inertie du sol, on peut alors isoler les parois verticales enterrées, à l’extérieur, par du polystyrène par exemple. Si on ne peut qu’isoler par l’intérieur il faut suffisamment de hauteur pour remonter le sol d’au moins 10 cm.
Matériaux – Plus on remonte dans le temps plus grande est la solidité des parpaings (parois plus épaisses). Cette solidité s’accompagne d’une masse plus importante favorable à l’inertie.
Volume de la maison – Plus la maison est compacte mieux c’est : une petite maison à deux étages est idéale. Sur une grande demeure mieux vaudra travailler sur un système de chauffage flexible qui tirera parti de calories bon marché (géothermie ou poêle à pellet par exemple) plutôt que de s’acharner sur l’isolation.

En ce qui concerne les ouvertures nous avons interrogé François Châtelard, spécialiste de la thermographie infrarouge : « une chose est certaine, dans tous les cas les menuiseries vieillissent (la caméra infrarouge révèle bien les fuites, ndlr) : les fixations s’affaissent, les assemblages se détériorent, les joints perdent de leur efficacité (surtout sur les fenêtres coulissantes), les bois travaillent ». Ses préférences : le bois, l’aluminium à peu près au même niveau, et loin derrière, le PVC.

François Chatelard explique que la caméra thermique ne peut pas montrer le niveau des pertes thermiques, mais seulement l’homogénéité de l’isolation. Les « fuites », la bonne facture de l’étanchéité sont bien visibles sur les photos infrarouges et donnent une bonne idée, en complément du bilan thermique obligatoire lors de la vente, des améliorations qui seront nécessaires. Sur un pavillon de 150 m² le coût est de l’ordre de 600 euros. Seule difficulté, la themographie demande une différence de température entre l’intérieur et l’extérieur d’au moins 15° C. Son utilisation exigerait que vous achetiez entre novembre et mars. Ce qui n’est peut être pas une mauvaise idée…

Laissons le mot de la fin à Yves Monnot, président du Syndicat des architectes de Paris (Sap-Unsfa75, affilié à l’Union nationale des syndicats français d’architectes) : « le pire c’est d’acheter une maison construite entre 1990 et 2000, et même 2009, car vous payez le prix d’une maison récente, en bon état, pour une construction qui ne correspond déjà plus aux exigences thermiques du temps. Mais l’essentiel, c’est d’acheter une maison qui vous plaise, le bonheur de l’architecte sera de trouver des solutions… ».

Groupons-nous pour la vidange de fosse !

Facile, vous précisez vos coordonnées dans le formulaire, vous êtes inscrit dans le groupage, le mulot vous rappelle pour vous indiquer le prix négocié et confirmer votre demande

 

Notre bon plan : douze arbustes au choix pour créer une haie champêtre ou un bosquet

Nous sommes au coeur de la période idéale pour planter des végétaux et notamment pour constituer des haies. Nous avons donc décidé de vous aider à créer des haies superbes à des prix défiants toute concurrence…

Alors, attention, notre choix, c’est de privilégier les haies champêtres, fleuries. A cela plusieurs raisons. C’est d’abord un choix esthétique car ce type de haie est en parfaite harmonie avec notre paysage régional. Mais elles participent également à l’équilibre de notre environnement car elles constitueront rapidement des refuges pour nos oiseaux, les abeilles et autres auxilliaires bien utiles dans nos jardins, tels que les hérissons.

Nous avons donc sélectionné avec notre partenaire une douzaine d’arbustes qui s’associeront parfaitement et, en plus, à des prix très accessibles…

Arrêtons-nous un instant sur cette notion de prix. Je préfère utiliser le terme de rapport qualité-prix. Lorsque vous achetez un végétal, quel qu’il soit, il faut bien passer en revue un certain nombre d’éléments de comparaison.

C’est d’abord la taille du conteneur qu’il faut apprendre à évaluer. Il y a quelques années, on donnait surtout la hauteur du plant (par exemple 60/80 c’est à dire entre 60 et 80 cm). Depuis, une autre notion est utilisée qui est celle du volume du conteneur (du pot) dans lequel le plant est vendu. Ainsi on parle de conteneur de 2 litres, 3 litres, 7 litres, voire plus…  Notre photo compare un godet et un conteneur de 3 litres:

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Alors autant on peut imaginer ce qu’est un arbuste de 60 cm de haut, autant on se rend plus difficilement compte de ce représente une contenance. Ce qu’il faut savoir, c’est ce qui est important pour la reprise de la plante et ce qui est important, c’est son développement racinaire. Parce que lorsque vous replantez votre arbuste pendant l’hiver, ce sont ces racines qui doivent se développer sous terre et permettre ainsi d’avoir un végétal plus robuste. En plus, planter  à cette période des arbustes avec un bon système racinaire permet de passer les périodes sèches avec un minimum de risque.

Donc, ne vous laissez pas éblouir par la hauteur des branches…

Avec notre partenaire, nous avons décidé de sélectionner des arbustes en conteneur de 3 litres pour vous permettre de les replanter dans des conditions idéales. Ils atteindront la hauteur de 2 mètres à l’âge adulte et supportent très bien la taille.

Nous précisons en plus la hauteur des branches pour que vous ayez tous les éléments de comparaison. Elles varient selon les variétés de 40 à 80 cm. «Toutes ces variétés ont été taillées plusieurs fois pour assurer une bonne ramification des plants», précise Ronan Duval avec qui nous avons travaillé en étroite collaboration sur ce dossier. L’autre précision à laquelle nous attachons une grande importance, c’est l’origine «locale» de ces végétaux qui ont été produits hors serre dans le Morbihan, à deux pas de chez nous à Molac..

Choisissez votre haie ou bosquet sur notre diaporama :   http://vimeo.com/85041696

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Le poinsettia

C’est l’une des fleurs les plus vendues en cette fin d’année. Le Poinsettia, également appelé Etoile de Noël fait partie des incontournables cadeaux au moment des repas de famille ou entre amis… Sauf que, cette jolie plante est très difficile à conserver en vie et surtout à faire refleurir.   

Voici donc quelques conseils pour prendre soin de votre poinsettia:

-L’Étoile de Noël aime les endroits lumineux et chauds.

-Si elle perd ses feuilles, cela est souvent dû au froid ou aux courants d’air. Placez votre poinsettia dans un endroit protégé des courants d’air et de la lumière directe du soleil. -Conservez- le ensuite à une température située entre 15 et 22 °C.

-L’Étoile de Noël se développera bien si elle est régulièrement et modérément arrosée avec de l’eau tiède. Si le terreau est sec, elle ne tardera pas à perdre ses feuilles. Cependant, si vous reprenez l’arrosage, rien n’est perdu et elle continuera à se développer.

-Si les feuilles jaunissent et tombent, c’est signe que les racines commencent à pourrir du fait d’un arrosage excessif ou d’une eau stagnant dans le pot. Dans le pire des cas, la plante peut mourir. Apportez-lui éventuellement une solution nutritive une fois par mois.

Comment faire refleurir votre Étoile de Noël ?

Après la floraison et la chute des bractées colorées, l’Étoile de Noël a l’apparence d’une plante verte. Afin que le poinsettia développe à nouveau des fleurs et des bractées colorées pour le Noël suivant, il est nécessaire de le placer dans la complète obscurité  (un carton d’emballage par exemple) 12 à 14 heures par jour pendant 8 semaines à compter de septembre. La moindre lumière empêchera la plante de refleurir.

En savoir plus sur l’entretien du poinsettia

 

 

Le sapin

C’est évidemment LA plante phare de ce mois de décembre. Le sapin de Noël a toujours la côte auprès des Français et notamment lorsqu’il est naturel. L’hiver dernier, 23% des foyers Français ont acheté un sapin dont plus de 80 % étaient naturels. Cela représente plus de 5 millions d’arbres vendus à un prix moyen de 25 euros pièce. Sachez-le, de nombreux pépiniéristes produisent des sapins en France, selon des techniques agricoles «raisonnées». Ce sont donc des sapins qui ne sont pas coupés dans les forêts. Ces producteurs se sont regroupés au sein d’une association (www.afsnn.fr) pour valoriser leur produit et notamment l’achat de proximité. L’un d’entres eux est installé à Plouay dans le Morbihan…

Lequel choisir? Il existe cinq variétés de sapins de Noël : Le Nordmann, l’Epicéa, le Pungens, l’Omorika et le Nobilis. C’est le Nordmann qui tient le haut du pavé avec sa silhouette harmonieuse: il a représenté près de 70% de parts de marché en 2012. L’Epicea, c’est celui dont l’odeur de résine embaume la maison et qui est sans doute le plus symbolique de Noël. Ses rameaux bien étagés facilitent sa décoration.

Bois Bûche

C’est très simple, remplissez le questionnaire et indiquez les quantités souhaitées en stères ou en cordes (1 corde= 3 stères), nous avons négocié pour vous un prix direct fournisseur le plus bas possible

N’oubliez pas de préciser les dimensions souhaitées, 50 cm/ 33cm / 25cm  ainsi que les dates de livraison possibles.

N’hésitez pas à nous contacter au 02 90 38 06 41 pour toute question.

Propane

  • L'association Planète Rurale ne pourra en aucun cas être tenue pour responsable d'éventuels litiges susceptibles de survenir avec le fournisseur proposé. Toute réclamation devra s'adresser au service client du fournisseur.

Les bulbes

 

Pour réussir vos bulbes, il est important de respecter les profondeurs de plantation. Un truc pour cela : enterrez votre bulbe entre 2 et 3 fois sa hauteur (depuis le sommet du bulbe jusqu’au ras du sol).

Une exception toutefois pour le lys qui doit être enfoncé plus profondément compte tenu de la hauteur de sa tige.

 

Le rosier

Mignonne allons voir si la rose

IMG_0590   En buisson, en tiges, grimpants…Le rosier est l’une des plantes préférée des français. Et les producteurs le savent bien qui lancent tous les ans des nouveautés. Vous en trouverez dans toutes les jardineries en ce moment.

Mais attention au porte-greffe ! C’est un élément déterminant pour la réussite future de vos massifs. Les plus répandus sont le multiflora et le canina. Dans nos terres plutôt acides, c’est le multiflora qui est le mieux adapté. Mais vous devez poser cette question à votre vendeur.

 A partir de la mi-octobre, nettoyez vos rosiers en coupant les fleurs fanées et les branches malades et fin octobre-début novembre il faudra remontez la terre en butte sur le point de greffe.

Réfléchissez dès à présent à l’organisation de vos futurs massifs, délimitez-les et préparez le sol. Dès le mois de novembre, vous pourrez planter vos rosiers à racines nues, mais c’est dès maintenant qu’il faut y réfléchir. Notamment parce que le rosier arbustif s’associe parfaitement avec les fleurs vivaces basses voire tapissantes telles que géraniums vivaces, corydale jaune, campanule des murailles bleu azur, heuchères, alchémilles, lavandes, dicentra formosa .

Les rosiers grimpants gagnent à être plantés avec des fleurs hautes et abondantes qui habilleront la base de ces rosiers qui se dégarnit avec le temps. C’est le cas des phlox, marguerites, euphorbe «fire glow». Privilégiez des fleurs dont la couleur rappelle celle du rosier.IMG_2143

Les rosiers-tiges qui ressemblent à de petits arbres seront mis en valeur par des fleurs aériennes (fraxinelles, mauves de la prairie, reine des prés, valérianes, népétas…) . Vous pouvez entourer ce massif d’une bordure de buis ou de romarin taillé qui donneront un cachet indéniable à l’ensemble.

Le chauffage au bois

Comme nous l’expliquons dans  les énergies, le bois énergie est la première énergie renouvelable utilisée en France et en Bretagne. Pour l’utilisateur, le chauffage au bois est écologique, convivial et  économique. 

La Bretagne est  la région de France ou se vend le plus de poêles (et d’inserts) à bois avec Rhône-Alpes, soit 34.000 appareils sur 350.000 ventes sur le réseau national. Poële à bois (et inserts) sont particulièrement bien adaptés à la thermie Bretonne ou les froids ne sont pas intenses mais le ressenti du froid à cause de l’humidité particulièrement désagéable. A cause de l’humidité, le ressenti du froid équivaut à -3° ou -4° sur le thermomètre. En captant l’air humide de la pièce et en restituant de l’air chaud, ces appareils sont très efficaces.

1.Poêles à bois

Les critères pour choisir un poêle à bois

Deux catégories de poêles à bois

Pour un chauffage principal
Il y a d’abord les poêles qui peuvent être un mode de chauffage à part entière. La version la plus moderne, c’est celle des poêles à granulés, inégalables pour leur confort d’utilisation, leur autonomie, leur alimentation automatique, la régulation de la température et les possibilités de programmation.

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Les poêles à granulés sont rarement préréglés en usine, les fabricants expliquent que l’installateur est le mieux placé pour effectuer les meilleurs réglages en fonction du lieu d’implantation. En réalité, les industriels préfèrent souvent se contenter de réglages grossiers mais passe-partout, afin d’éviter à coup sûr les pannes. Le revers de la médaille, c’est qu’avec ce type de réglages l’appareil est incapable d’offrir son meilleur rendement. C’est un gros problème. Il faut donc exiger des précisions de l’installateur. L’appareil dispose-t-il d’une fiche de réglages fournie par le fabricant ? Effectue-t-il les réglages automatiquement ? C’est une question essentielle qui va déterminer la quantité de bois consommée à l’usage. Ne la négligez pas.

Quand les granulés sont de mauvaise qualité, ils perturbent le fonctionnement de l’appareil, il faut être vigilant. Le problème peut provenir d’écorces mélangées aux sciures. En brûlant, l’écorce encrasse le matériel. Il peut être dû au taux d’humidité trop élevé des granulés. Pour bien brûler, ils doivent être très secs. En principe, ils sortent de fabrication à 8 % d’humidité maxi, il ne faut pas dépasser 10 %. Mais la plus grande cause d’encrassement, c’est la poussière, ennemie jurée des poêles à granulés.

Pour faire un bon achat, n’hésitez pas à demander quelques précisions. Exigez que le taux d’humidité soit indiqué sur la facture s’il ne figure pas sur les sacs ou si la livraison se fait en vrac. À domicile, stockez votre réserve de granulés à l’abri de l’humidité. Si le taux de fines (mesure des poussières) n’est pas indiqué, faites la vérification à l’œil nu, au besoin en ouvrant un sac : les granulés du fond qui baignent dans la poussière, c’est mauvais signe. Pour éviter les mauvaises surprises, achetez des granulés de bois certifiés. Deux certifications coexistent actuellement sur le marché français : la marque NF granulés d’une part, la norme allemande DIN Plus d’autre part. Une bonne partie des granulés produits en France sont certifiés NF ou DIN Plus. Les deux certifications offrent des garanties, optez pour l’une ou l’autre en fonction des disponibilités locales.

En matière de poêles à bûches, pour un chauffage à part entière, c’est lepoêle de masse qui convient, encore appelé poêle à accumulation ou à inertie. Lourd et massif, il marche à plein régime puis restitue lentement – jusqu’à 24 heures – la chaleur accumulée grâce à ses matériaux – faïence, roches volcanique ou briques réfractaires. Son rendement est élevé, mais c’est un choix qui se fait à la construction ou en réhabilitation importante, car pour une bonne diffusion de la chaleur, il se place au centre du logement et à proximité de la cage d’escalier si on veut chauffer l’étage.

Pour un chauffage d’appoint
À l’exception des poêles de masse, les poêles à bûches peuvent difficilement chauffer tout le logement. Ils sont utiles en complément de chauffage ou en remplacement d’un vieil appareil. La puissance et le rendement sont des critères primordiaux.

Poêle à bois

Trois critères de choix

Rendement maxi…
Pour être éligible au label Flamme Verte, un poêle à bûches doit avoir un rendement minimal de 70 %. C’est un progrès, car plus le rendement est élevé, moins l’appareil consomme de bois. Impossible cependant d’en faire son mode de chauffage principal. L’autonomie se limite à quelques heures, il faut le recharger manuellement pour maintenir le feu, et il est incapable de garantir une température à peu près identique dans les pièces voisines. La chaleur du poêle à bûches se diffuse mal aux autres pièces.

… mais puissance mini…
Pour éviter la surchauffe dans une pièce et les écarts de température importants avec le reste du logement, la puissance du poêle à bûches doit être calée sur les besoins de la pièce, jamais sur ceux de la maison. « C’est une règle à suivre impérativement, explique Nicolas Marie, conseiller à l’Espace Info Énergie de l’association Biomasse Normandie. Si le poêle est plus puissant, on a 25 ou 30 °C dans la pièce à vivre et à peine 17 °C à côté : c’est invivable, les gens cessent de l’utiliser ou ils le font marcher au ralenti en fermant les arrivées d’air. »

… pour un fonctionnement à pleine puissance.
Pour un rendement correct, le poêle à bûches doit fonctionner à plein régime. Il ne faut jamais fermer les arrivées d’air pour qu’il chauffe moins, car ses performances se dégradent dès qu’il fonctionne au ralenti : son rendement chute, il consomme plus, il s’encrasse, le conduit d’évacuation des fumées aussi, et la pollution augmente. Les rendements indiqués sur les appareils valent d’ailleurs pour un fonctionnement à pleine puissance, pas à marche réduite.

En magasin : poêle traditionnel, turbo ou à double combustion ?

Les modèles traditionnels peuvent être oubliés, car ils n’atteignent pas le rendement minimal de 70 % exigé par le label Flamme Verte et indispensable pour obtenir le crédit d’impôt. Afin d’atteindre ce rendement, il faut en effet une arrivée d’air secondaire qui permette de brûler les gaz résiduels de la combustion du bois au lieu de les évacuer directement par le conduit de fumée, comme le font les poêles classiques. Cette deuxième phase de combustion, appelée postcombustion, est même celle qui génère le plus de chaleur. Souvent, c’est la même prise d’air qui est répartie sur deux entrées différentes dans le poêle. Les poêles turbo et les poêles à double combustion fonctionnent sur ce principe.

Les poêles turbo disposent d’une seule chambre de combustion. L’entrée d’air secondaire qui permet de brûler les gaz se fait à mi-hauteur. Ces poêles montent assez vite en température, ce sont les plus rapides pour réchauffer une pièce grâce à leur ventilateur.

Les poêles à double combustion comportent deux chambres de combustion distinctes. Celle de postcombustion se situe à l’arrière du foyer. Ce dispositif améliore le rendement, il est plus élevé que sur un poêle turbo.

Ne pas confondre : l’arrivée d’air dite « vitre propre », qui balaie la vitre pour lui éviter de noircir, n’assure pas la postcombustion, celle des gaz imbrûlés.

Poêles à plaquettes

Nouveau, Apparaissent sur le marché des poëles mixtes fonctionnant aussi bien aux granulés qu’au bois déchiquetté, le reservoir pouvant contenir 25 kg de granulés ou 12 kg de plaquettes, des pré programmes permettent de changer de combustible en toute quiétude. Appel à témoignage sur le site du mulot pour ceux qui ont pu tester ces modèles…

2. Les inserts à bois

Le rendement d’environ 10% des foyers ouverts est très faible, de plus ces équipements deviennent interdits dans un nombre croissant d’agglomérations… On peut à la rigueur installer un insert-ouvert permettant de doper le rendement à 45% et diminuer de 80% les émissions de particules fines… mais la meilleure décision est de rénover votre foyer ouvert par un insert fermé capable pour  environ 3.000€ de porter le rendement à 75%. Ces systèmes se couplent avantageusement avec un récupérateur d’air chaud capable de chauffer d’autres pièces de votre maison.

3. La chaudière à bois

Nouveau venu dans le monde du bois, la chaudière à bois fonctionne avec des bûches, plaquettes et granulés, elle est raccordée au circuit de chauffage à eau chaude via un ballon tampon. Voir la rubrique Chauffage Centrale.

Signes de qualité

Utiliser le bon bois

Seul le bois sec convient

Une fois débité en bûches, le bois doit passer 2 ans à l’abri dans un endroit bien ventilé où l’air circule, mais surtout pas sous une bâche plastique, car en favorisant la condensation, elle redonne de l’humidité au bois.

Au coup d’œil, le bois sec est fendillé, il ne comporte ni champignons ni moisissures. À l’oreille, il résonne quand on cogne deux bûches entre elles. Si le bruit est sourd, il est encore humide.

Les bonnes essences

Les résineux sont à éviter, ils encrassent les conduits.

Les feuillus durs sont les bois les plus adaptés, à l’exception du châtaignier, qui éclate en brûlant. Le charme, le chêne, le hêtre, l’orme, le noyer conviennent parfaitement.Les feuillus tendres comme le peuplier et le saule brûlent vite, il faut les réserver au démarrage du feu.

 Conduit de fumées indispensable

Pas de ventouse possible, le poêle à bûches exige un conduit de fumées, ce qui exclut de l’utiliser dans les maisons conçues en tout électrique sans conduit d’évacuation (ou alors, il faut prévoir des travaux).

Le label Flamme verte

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Créé par les fabricants d’appareils de chauffage au bois et par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), le label Flamme verte porte sur le niveau de performance et les émissions de polluants. Ses exigences sont renforcées depuis le 1er janvier 2015.

Jusqu’à fin 2014, le niveau 5 étoiles était la distinction la plus haute. Pour un poêle à bûches, elle correspondait à un rendement minimum de 70 %, un taux de monoxyde de carbone de 0,3 % maximum et des émissions de particules fines inférieures à 90 milligrammes par m3. Désormais, c’est seulement le minimum requis.

Les poêles à bûches 6 étoiles ont un rendement minimum fixé à 75 %, un taux de monoxyde de carbone à 0,15 % et des émissions de particules fines à 50 milligrammes de poussières maximum.

Les émissions de polluants sont encore réduites avec les poêles à bûches 7 étoiles, mais le rendement, lui, reste à 75 %. « On ne peut pas augmenter le rendement au-delà de 80 % sur un appareil à bûches, précise Olivier Grelier, responsable de la certification au syndicat des énergies renouvelables. On a un problème d’évacuation des fumées si on réduit leur température. Ce n’est pas le cas avec les poêles à granulés, ils sont plus proches d’une chaudière que d’un appareil à bûches en fonctionnement. »

 

 

Achat groupé de pelets

Groupage de granulés (ou pelets)

Pelllets- biomassGroupage de commande de granulés de bois (ou pelets).
C’est très simple, remplissez le questionnaire et indiquez les quantités et délais souhaitées, en réunissant un groupage nous obtenons pour vous le prix proposé, et nous vous recontactons pour confirmer votre commande. Le fournisseur vous livre et vous réglez la livraison au chauffeur. N’hésitez pas à nous contacter au 02 97 47 63 59  si vous souhaitez obtenir plus d’informations.


Demande d'adhésion Le Mulot

Ets Ryo

L’entreprise Ryo vous propose tous les travaux de chauffage et de plomberie. Grâce à leur expertise, l’entreprise s’accorde à votre projet.

Chauffage

Au vue de ces réalisations , le chauffage n’a plus de secret pour l’entreprise Ryo, elle gère tous systèmes de chauffage:

  • Pompe a chaleur air/eau, air/air
  • Géothermie
  • Chaudière bois
  • Création de plancher chauffant
  • Mise en place d’une régulation/programmation pour la gestion de votre chauffage.

Eau chaude sanitaire

  • Solaire thermique: Chauffe eau solaire individuel
  • Chauffe eau thermodynamique, c’est un chauffe eau classique avec une pompe à chaleur air/air qui permet de diviser par 3 ces besoins de chauffage pour l’eau chaude sanitaire.

Rénovation de salle de bains

  • Traitement PMR, Personnes à Mobilité Réduite
  • Mise en oeuvre de robinetterie

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Géothermie à Rochefort en terre

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CEM Concept (RGE)

Construction Ecologique Morbihannaise – CEM Concept propose différents travaux:

  • Maçonnerie
  • Isolation:
    • Soufflage ouate de cellulose
    • Enduit isolant Chaux / Chanvre
    • Fibre de bois
  • Menuiseries extérieures: Bois / Alu

CEM Concept dispose d’une Charte Eco-Construction

Exemple de réalisation :

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L’Assainissement Non Collectif (ou assainissement individuel)

L’ANC (assainissement non collectif) ou plus simplement l’assainissement individuel est une obligation pour toute maison de particulier non raccordée à un réseau public.

Depuis 2009, la France rattrape son retard sur l’Europe dans le retraitement des eaux usées, mais les particuliers se perdent dans des informations foisonnantes et des procédures compliquées !

Pourtant la technique épuratoire en ANC est ancienne et bien connue des filières traditionnelles : en 2013, cette filière touche plus de 75% des 100.000 installations neuves : si votre sol le permet, il s’agit de creuser une fosse qui va recevoir toutes les eaux usées domestiques qui seront traitées par le sol en place ou reconstitué (tranchées, filtres à sable ou tertres d’infiltration) après  Il suffit d’un entretien régulier et de vidanger régulièrement la fosse …

Le SPANC contrôle régulièrement vos installations (tous les 6 ans pour le SPANC de St Jacut 02 99 91 28 11)) et peut vous conseiller pour faire durer votre installation, l’assainissement individuel est une chance ! il vous coûtera moins cher que d’être raccordé à un système d’assainissement collectif à condition de bien entretenir et nettoyer chaque année votre système.

Si vous venez d’acheter votre maison, vous avez un an pour mettre votre installation à niveau, et si vous voyez une masse d’ortie à la sortie de vos eaux usées, attention c’est un dégagement d’azote excessif qui veut dire qu’il y a un problème…

Chaque projet a sa solution particulière…

il faut absolument passer par la case bureau d’étude qui en analysant les capacités de votre sol vous orientera vers la solution adaptée à votre terrain, le réseau du mulot vous propose les meilleurs avec ETUDES ENVIRONNEMENT pour évaluer toutes les possibilités de votre terrain ou TEKMAD si vous souhaitez une solution d’épuration par les plantes (phyto épuration) avec la technique AQUATERIS.

En fonction de votre terrain Les dispositifs de traitement peuvent être les suivants:

Le sol en place :

  • Tranchées d’épandage à faible profondeur dans le sol naturel (épandage souterrain) : Les tranchées d’épandages sont mises en place dans un sol favorable à l’épuration et à la dispersion des eaux.
  • Lit d’épandage à faible profondeur : Le lit d’épandage est mise en place dans des sols favorables à l’épuration et à la dispersion des eaux, mais à dominante sableuse, là où les tranchées s’ébouleraient.

Le sol reconstitué :

  • Filtre à sable vertical non drainé.
  • Filtre à sable vertical drainé.
  • Tertre d’infiltration

Il existe d’autres dispositifs de traitement agréés par publication au Journal officiel :

Le traitement peut également se faire par les dispositifs suivants  :
  • Les filtres compacts: zéolithe, fibres de coco, laine de roche,…
  • Les filtres plantés (phytoépuration)

Si l’emplacement réservé à votre assainissement est limité, la solution sera la micro-stations, plusieurs techniques sont proposées :

– à boues activées classiques (bactéries dans le milieu hydraulique ou culture libre)

– à cultures fixées (bactéries sur un support)

– réacteur biologique séquentiel (SRB), un compresseur envoie de l’air dans le réacteur, ce qui propulse les boues du clarificateur vers le décanteur.

Pour faire un bon choix…

Il faut d’abord évaluer la taille du dispositif de traitement, définie par le nombre d’habitants de la maison et/ou d’éventuels travaux ; puis il faut étudier la parcelle, selon sa pente, la présence ou non d’eau dans le sol et enfin il faut se pencher sur les filières (besoin ou non d’une ventilation, quelle consommation d’énergie ?, Quel entretien ?). ATTENTION aux produits proposés sur le marché, quelques fois non agrées, non expliqués (personne ne parle d’entretien, de vidange..) et du coup non éligibles à une subvention possible !

Si la maison n’est habitée que quelques mois par an ou quelques semaines (maison secondaire par exemple), la notion de variabilité de la charge reste à définir par le ministère et les organismes notifiés. Il s’agit d’assurer un rendement épuratoire constant (même si on doit remettre en marche par intermittence le dispositif), qui ne soit pas lié aux fluctuations des charges d’eaux usées.

Entretenir le dispositif devient une obligation : la vidange de boues en décantation est essentielle pour éviter une pollution importante (une vidange tous les 3 ans semble raisonnable). Pour les filières traditionnelles, la vidange à minima imposée est de 3 m3 et/ou vidange à 50% du taux de remplissage. Un entretien régulier permet d’appréhender les éventuels dysfonctionnements et de déterminer les fréquences de vidange : cela génère donc une pollution moindre, et évite des frais éventuels de changements de pièces du dispositif, changements qui peuvent très vite s’avérer très onéreux. L’évidence d’un contrat d’entretien annuel commence à s’imposer pour adopter un entretien approprié à chaque situation, avec le mulot c’est possible…

Ces agréments portent seulement sur le traitement des eaux usées :

En sortie de tout dispositif de traitement, les eaux usées traitées doivent être infiltrées si la perméabilité du sol le permet. Le rejet d’eaux usées traitées vers le milieu hydraulique superficiel n’est possible qu’après une étude particulière démontrant qu’aucune autre solution d’évacuation n’est envisageable et après autorisation du propriétaire ou du gestionnaire du milieu récepteur.

La liste des dispositifs de traitement agréés et les fiches techniques correspondantes sont publiées au Journal Officiel de la République Française par avis conjoint du ministre chargé de l’écologie et du ministre chargé de la santé.

En raison de leur mode de traitement, certains dispositifs agréés ne sont pas adaptés pour fonctionner par intermittence. Lorsque cela est mentionné dans l’agrément, le dispositif ne doit pas être installé dans une résidence secondaire.

A savoir :

Le syndicat de la Basse vallée de l’Oust a passé une convention avec l’Agence de l’Eau Loire Bretagne pour aider à la réhabilitation des installations d’assainissement non collectif : 50% du coût de l’installation plafonnés à 8000€ de travaux TTC.

D’un autre côté, une subvention peut être accordée (en fonction des revenus) par l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) : 35% des travaux HT plafonnés à l’aide de l’Agence de l’Eau pour les installations polluantes.

Contacter le PACT HD pour plus de renseignements ,du lundi au jeudi de 9h à 17h et le vendredi de 9h à 16h au 02 97 40 96 96.

Un peu plus d’expertise sur la qualité de l’eau ?

Arrêté du 07/09/09 fixant les prescriptions techniques applicables aux installations d’assainissement non collectif recevant une charge brute de pollution organique inférieure ou égale à 1,2 kg/j de DBO5

 

Cet arrêté, fixe notamment la qualité des eaux entrantes dans les installations de traitement et les objectifs à respecter en sortie. Ces mesures doivent être respectées par les constructeurs lors de la validation des installations pour demande d’agrément.

 

 

 

 

 

 

Le chantier du mois de novembre

A la Sainte-Catherine tout bois prend racines…

Avec le mois de novembre, arrive la grande saison des plantations. On connaît le dicton  «qu’à la Sainte-Catherine tout bois prend racines…». C’est donc le 25 novembre que commence «officiellement» cette période clé dans la vie d’un jardin.

rosier_racines_nuesC’est donc le chantier prioritaire. Pas de précipitations pour planter, mais il est temps de faire le tour du jardin et de déterminer les emplacements où vous souhaitez planter aussi bien les arbres fruitiers que ceux d’ornement. C’est aussi le moment de profiter des jours un peu gris de la fin d’automne pour se promener dans les jardineries ou pépinières de la région à la recherche des variétés. Profitez de nos offres de groupage avant de faire vos commandes. Une fois les emplacements choisis, creusez les trous, quelques semaines avant la plantation. Ce n’est pas obligatoire, mais c’est mieux.

 Au potager. Si vous avez semé des endives, vous pouvez commencer à les arracher pour les faire «blanchir». Pour cela, coupez les feuilles à 3-4 cm au-dessus du collet de la racine, puis placez vos endives dans une caisse avec du sable ou du terreau, humidifiez, puis laissez-les dans le noir, à la cave par exemple. La durée de cette opération varie selon la température de la pièce dans laquelle vous stockez les endives.

  • Vous pouvez essayer de planter de l’ail rose, mais sur une butte pour éviter l’excès d’humidité (chez nous l’hiver est souvent pluvieux..)
  • Protégez vos pieds d’artichauts en les buttant puis en les paillant
  • Vous pouvez arracher des betteraves et des carottes pour les stocker dans une caisse remplie de sable afin de prolonger leur consommation tout l’hiver.
  • Poursuivez le nettoyage de vos parcelles et épandez de la chaux.
  • Vous pouvez tailler les framboisiers en supprimant les branches ayant donné des fruits, cette année.

Au verger. C’est le moment de cueillir ou ramasser les pommes pour faire du cidre. Ne laissez pas traîner les pommes abîmées, ni sur le sol, ni sur les arbres pour éviter la propagation de maladies. Ramassez-les et brûler-les.

Inspectez soigneusement vos arbres fruitiers. Certains ont été endommagés par les orages de grêle qui ont touché notre région au printemps. Les dégâts les plus inquiétants concernent les fruitiers à noyaux : cerisiers et pruniers. Leurs plaies laissent parfois échapper de la gomme, ce qui à terme peut les faire dépérir. Il faudra suivre l’évolution de ces arbres.

Au jardin d’agrément. Terminez la plantation des bulbes de printemps. Arrachez les bulbes de cannas, de dahlias avant l’arrivée des gelées et stockez-les dans un endroit sec et à l’abri du gel. Vous pouvez en faire autant avec vos glaïeuls et vos géraniums.

Si vous avez des végétaux sensibles au froid, vérifiez que vos systèmes de protection (housses, paillage…) sont prêts afin de pouvoir intervenir rapidement si la météo annonce une chute des températures.

Le mois de novembre, c’est aussi celui des chrysanthèmes. Les producteurs ont fait de gros effort pour diversifier les couleurs et les formes de ces fleurs qui pâtissent un peu trop  de leur association avec la Toussaint. Essayez d’oublier cet aspect et intégrez des chrysanthèmes dans vos massifs qu’elles agrémenteront pour l’hiver, ainsi que dans des jardinières où les variétés retombantes sont du meilleur effet.

Le diagnostic thermique en ligne

La simulation : une première étape dans la recherche de la solution

Le choix des simulateurs :

Le Mulot a sélectionné deux simulateurs pour établir une éco-simulation de votre maison. Vous pourrez mémoriser et transmettre à l’artisan de votre choix cette analyse. Bien sûr, les solutions de rénovation thermique proposées par votre simulateur ne sont qu’une première étape mais c’est une solide base de discussion avec les autres internautes ou les artisans que vous aurez contactés sur notre site.

Classement énergétique des batiments en kwH

Promodul:

Nous vous recommandons Guide Reno, élaboré par l’association Promodul qui regroupe la filière des professionnels de l’efficacité énergétique en France. La qualité de cet outil est d’intégrer les objectifs environnementaux à atteindre dans l’approche facteur 4. Toutes les solutions préconisées, même si vous choisissez de les mettre en oeuvre en plusieurs étapes, en cohérence à votre budget, sont compatibles avec les objectifs à atteindre en 2050. Outil de calcul performant et rapide, Guide Reno se base sur de nombreuses données permettant d’obtenir un résultat au plus près de votre logement.

Guide Réno

MaMaisonEco56:

Le département du Morbihan vous propose également son auto-diagnostic énergétique, mamaisoneco56.

MaMaisonEco56

 

Mode d’emploi :

En quelques clics, vous pouvez estimer la consommation de votre logement et déterminer les travaux pour faire des économies.

Pour faire ce diagnostic, rien de plus simple, laissez vous guider par le simulateur. En 10 minutes et à l’aide de quelques informations de base sur votre logement, vous obtiendrez une solution et un chiffrage des solutions à mettre en oeuvre. Avant de commencer :

  • Munissez-vous des infos sur votre logement : surface, nombre de pièces, année de construction.
  • Rentrez les caractéristiques techniques de votre logement. Si vous ne les connaissez pas, le simulateur permet d’établir une estimation de vos installations.
  • Répondez à quelques questions sur vos habitudes en matière de chauffage.
  • Vous pouvez ensuite établir votre projet pour vos travaux.

Avec le résultat, vous pourrez situer votre consommation et juger s’il est opportun d’effectuer des travaux ou bien de réaliser les bons gestes.

N’hésiter à prendre contact avec nous, si vous rencontrez une difficulté.

Nous contacter

Que ce soit sur tablette, PC, ou téléphone venez consulter gratuitement notre site web  tous les jours de la semaine et 24h/24. Laissez-nous votre adresse et venez nous rejoindre pour participer à nos débats, dénoncer les idées reçues, innover,  proposer de nouvelles solutions, aider les autres…

Pour nous joindre, nous écrire, nous voir…

 

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  • L'association Planète Rurale ne pourra en aucun cas être tenue pour responsable d'éventuels litiges susceptibles de survenir avec le fournisseur proposé. Toute réclamation devra s'adresser au service client du fournisseur.

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